« Rappelant par sa radicalité transgressive et ludique les débuts héroïques du Living Théâtre et du Grand Magic Circus, une mise à sac jubilatoire des codes
phallocratico-marchands du spectacle « cochon ». L’exploit accompli par les cocasses amazones du désordre, et leurs comparses, boutant le feu à cette anti-représentation, c’est qu’elles
réussissent foutrement bien, les sacripantes, à plonger dans le désarroi total les mâles en rut venus pathétiquement les mater tout en faisant constamment bander, mouiller, pouffer les
spectateurs se ralliant à leur travail de sape. »
Noël Godin, 2012